A côté de l'OFJ et de l'Orchestre des Jeunes de l'Union Européenne, il joue au sein de grandes formations parisiennes ainsi qu’avec l’Orchestre d’Auvergne et l’Orchestre Régional Poitou-Charentes. En 1995, il est nommé second hautbois/cor anglais à l’
Orchestre National du Capitole de Toulouse.
En octobre 2000, il fonde avec quelques-uns de ses collègues de l'ONCT la saison de musique de chambre
Les Clefs de Saint-Pierre qui propose au public toulousain un large choix de pièces du très vaste répertoire de la musique de chambre. La période de 1700 à nos jours est présentée par les musiciens de l'ONCT à l'auditorium Saint-Pierre des Cuisines de manière à mettre en valeur toutes les familles d'instruments de cette grande formation symphonique.
À la fin de l'année 2005, il se tourne vers la direction d’orchestre (études au CRR de Toulouse) et se met rapidement à animer plusieurs orchestres d’étudiants. Il est alors sollicité à plusieurs reprises pour de grandes œuvres chorales : le
Requiem Allemand (Brahms), la Passion selon St-Jean (Bach), la Messe du Couronnement (Mozart) et le
Stabat Mater de Pergolèse lui permettent l'accès au grand répertoire de la musique religieuse occidentale.
La fondation de l'
Enharmonie avec le physicien violoniste Matthieu Mambrini au début 2011 lui ouvre de nouveaux horizons. Les dimensions de cet ensemble, à partir de celles d'un orchestre de chambre (25-30 musiciens) peuvent s'élargir jusqu'à à une cinquantaine de personnes dans certains cas. La possibilité est ainsi créée de varier le répertoire de l'orchestre en le prolongeant même, par delà le romantisme, jusqu'au début du XXème siècle. Un champ important s'offre alors à l'
Enharmonie et à son directeur musical, avec en plus le souci de redonner à entendre certaines pages un peu trop délaissées.
Source :
L'Enharmonie